Comme c'est bizarre le monde, la salle avec les feux rouges, les bleus sur le mur et sur notre peau.
Vient la nuit et les lumières s'allument. Nous restons dans l'ombre de l'un l'autre, verre à la main, tapotant sur le bras de l'autre au rythme des chutes de pierres et des échos serré. Nous demandons un autre et nous sommes récompensés, mais pas aussi souvent que nous aimons. On sait que les chansons prennent du temps à chanter, et nous oublions les mots sans ami à côté.
Le miroir du lac reflète notre temps de partir et en regardant ça, il fuit. Je reste avec des enfants qui ne grandissent pas de parler leur langue paternelle ou maternelle, mais la langue du devoir et de foi et d'amour et d'attendre. Clac clac clac les mots des humanistes et des capitalistes et j'essaie de transcrire les paroles du chauffeur de taxi. Nous nous installons ensemble dans un lit avec les draps et une forme de l'autre. Que va devenir ce moule, mais les plaies d'encre? Permettez-moi de les couper une fois de plus, un jour inconnu.
9.26.2009
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J'aime ca, beaucoup.
ReplyDeleteNo more English? s'il vous plait? :)
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